Pour cet opus, pas de tergiversations, pas de temps mort,
pas de chichi.
Le tome s’ouvre sur un massacre en bonne et due forme et on
sent que l’auteur fait exploser là toute sa rage.
Ensuite, on retombe dans le souvenir qui débute par cette
dominante blanche avant que la noirceur envahisse progressivement les pages.
Car cette fois, on vit le drame, on voit ce qui ramène Eric à la vie grâce à la
présence du corbeau.
Ce qui n’était donc que des bribes ici ou là est désormais bien
identifié. On connait le point de départ, reste à savoir comment tout ceci va
se terminer.
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