On en finit avec ce moment tragique, cette pseudo accalmie
pleine de poésie et d’amour. On retrouve une partie de ces dessins si doux pour
mettre en valeur ce qu’il y avait de mieux chez Eric et Shelly.
Puis c’est le retour à la réalité, toujours aussi noire et
froide.
La visite à Sherri, cette petite fille rencontrée comme ça
dans la rue et surtout l’immédiate affection qui en a découlé est censé
représenter un faible espoir dans le coeur d’Eric. Mais cela tombe à plat
malgré les bonnes intentions de l’auteur, à savoir mettre un peu de douceur
dans ce monde de brut. Comme le personnage n’a pas vraiment de raison d’être et
pas d’histoire commune avec ce fantôme, ça ne fonctionne tout simplement pas.
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