Inconditionnel de Stephen King, pendant longtemps, j’ai eu beaucoup de mal à ouvrir un autre bouquin n’étant pas écrit par le maître.
Dracula a peut-être été le premier. Dès les première lignes, on est
happé par le style, la forme, les personnages, l’histoire. On se rend
très vite compte que le vampire n’est pas aussi simple que celui décrit
au cinéma. Hormis la bête traquée, c’est un romantique au cœur déchiré
par la douleur. On aurait presque pitié de lui.
Maintenant, le style de récit sous forme de journaux intimes est très
bien pensé. On voit le récit sous différents point de vue, chaque
personnage apportant sa pierre à l’édifice et faisant avancer l’histoire
jusqu’à son dénouement tragique.
Dracula est primordial dans la littérature fantastique, d’autant qu’il pose les bases sur ce qu’est un vampire, un vrai.
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