J’ai eu un peu de mal sur les 80 premières pages. Pourtant, on est dans le vif du sujet rapidement et la construction permet de maintenir le suspens. On est embarqué dans une histoire pleine de questions et le lecteur cherche à jouer les Sherlock Holmes pour découvrir le fin mot de l’histoire avant le héros principal.
Mais c’est sans compter sur Thilliez qui, habilement, brouille les
pistes, joue sur les nerfs de son lecteur en lui balançant une vérité
pour tout de suite la renier et le mettre sur une autre voie encore plus
déconcertante.
Donc, passer ces 80 premières pages, le livre se dévore, haletant, angoissant, mystérieux mais jamais redondant.
La seule déconvenue est que certains passages ou plutôt certaines
idées rappellent certains films dont je tairais les noms pour ne pas
casser le suspense.
Au-delà de ça, c’est un excellent bouquin.
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